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5 Recettes Pour Réussir Votre Entrevue

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Ecrire un blog est comme remplir un journal intime parce qu’il permet non seulement de partager des perspectives sur des sujets importants ou parfois étranges d’une vie mais aussi d’échanger quelques petits secrets. Et j’ai décidé aujourd’hui de partager avec vous un petit secret sur la meilleure manière de surmonter la pression inestimable d’une entrevue d’emploi et en même temps augmenter énormément vos chances de trouver votre boulot idéal.

Les recettes que je partage ici viennent de ma propre expérience personnelle et de mon parcours professionnel. Beaucoup d’informations ont été glanées de mes observations sur le monde de l’emploi, la psychologie et la sphère politique.

Etrange mosaïque, n’est-ce pas?

Pas aussi étrange si l’on se rend compte que la plupart d’entre nous vivant dans les mégalopoles modernes « civilisées » doivent satisfaire leurs besoins physiologiques de base (par exemple : s’alimenter), faire des choix quotidiens qui influenceront le reste de nos vies et participer, de gré ou de force, à la gestion des affaires de la communauté dans laquelle nous vivons.

Autrement dit, nous devons travailler, prendre des décisions personnelles et élire nos représentants au gouvernement.

Sans aucun doute, j’ai appris au cours des années que les politiciens, de par la nature même de leur travail, sont, simultanément, les meilleurs spécialistes de  demande d’emploi et d’embauche.

On se comprend? Pas encore. Permettez-moi d’expliciter un petit peu.

Nos élus sont d’ordinaire soumis aux questionnements des électeurs (via les médias) dans des cadres publics. Prise contextuellement, cette situation entraîne un fardeau incroyable sur quelqu’un qui doit rendre compte à toute une collectivité. Une bonne illustration en est le nombre époustouflant de débats auquel sont soumis les candidats à l’élection présidentielle aux États-Unis.

Pensez, par exemple, aux élections locales ou aux auditions sénatoriales  pour confirmer les ministres du gouvernement fédéral américain. Ou cet instant où vous avez dû répondre à des questions lors de grandes réunions familiales

Le citoyen lambda, en revanche, est accoutumé à des entrevues individuelles dans des sphères plus privées. Même les postes de cadre n’exigent, tout au plus, qu’une entrevue de groupe limité (conseil d’administration ou autre).

Les politiciens sont devenus ainsi experts dans l’art de la parfaite entrevue et entretiennent un niveau qualitatif élevé dans leur discours. En conséquence, ils doivent avoir l’appui d’un entourage compétent, et ceci explique leurs exigences qualitatives quand il s’agit d’embaucher du  personnel.

J’appelle « R-E-A-D-Y » (PRÊT, en anglais) les étapes d’une bonne préparation d’entrevue et, bien que je ne puisse garantir leur efficacité dans tous les cas, je peux du moins témoigner de l’utilité de cette technique dans la réduction de stress pré-entrevue dans mon propre cas.

Voici les 5 étapes (et leurs équivalents en anglais).

Reputation   =>       Réputation

Esteem          =>       Estime

Ability            =>       Habileté

Directness    =>       Franchise

Yearning       =>       Préparation

REPUTATION

Votre réputation vous définit; c’est votre marque. Les gens vous jugeront d’abord sur votre réputation. Les préjudices et les clichés, au niveau social, sont la plupart du temps enracinés dans la réputation ou la rumeur. J’ai récemment écrit sur le risque de réputation des entreprises mais je dois admettre que celui-ci s’applique aussi aux individus.

D’abord, vous devez prendre grand soin de votre renommée dans les réseaux professionnels et sociaux.

Vous êtes-vous jamais demandé si vous voteriez pour un politicien à mauvaise réputation?

Dans un monde de plus en plus dominé par l’internet, vous devez faire attention à ce que j’appelle votre « tenue numérique », c’est-à-dire la manière dont vous vous comportez en ligne, particulièrement sur les sites sociaux et les forums. Les données numériques peuvent toujours être retrouvées même si elles avaient été précédemment supprimées ; donc, évitez ces commentaires dérogatoires (le pire est de critiquer votre ancien ou actuel patron ou même votre société) ou ces images blessantes que vous postez en ligne. Ne soyez pas licencié à cause de Facebook !

Encore une fois, la question que vous devez vous poser : éliriez-vous un politicien peu scrupuleux? Combien de politiciens ont enterré leurs carrières prématurément après des scandales? Ou, plus intimement, conseilleriez-vous à un proche d’épouser quelqu’un de mauvais aloi? Évidemment non. Donc ne vous attendez pas à ce qu’un recruteur vous accorde une faveur que vous n’accorderiez pas vous-même si vous étiez à sa place.

ESTIME

Vous devez avoir une grande estime de vous-même ; en d’autres termes, votre amour-propre doit commander votre attitude et votre diction avant et après l’entrevue.

Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi les politiciens sont célèbres pour leur égo surdimensionné? L’estime engendre le respect. Vous devez respecter l’interviewer parce qu’il ou elle a eu assez de respect pour vous avoir invité à une entrevue. Vous devez être à tout moment courtois, tranquille, confiant et clair

Le respect de soi et de l’interviewer augmentera votre réputation. Par estime, je veux dire ponctualité à l’entrevue et civilité dans le discours en évitant tous mauvaise plaisanterie ou commentaire dérogatoire et blessant. Évitez les « questions chaudes » habituelles comme la religion et la politique; essayez de les éluder ou de rester vague mais poli quand l’interviewer insiste. Parfois, éviter de répondre est la meilleure réponse.

Rappelez-vous : la première impression est toujours la bonne.

HABILETE

Votre habileté se situe dans votre capacité, vos compétences. Ce qui fait de vous un candidat unique. Vous devez être bon (au moins sur papier) pour que le recruteur vous fasse appel en premier lieu. Se dire simplement qu’on est compétent augmente énormément notre confiance en soi. Il faut s’assurer ensuite que votre savoir-faire « théorique » tel qu’indiqué sur le C.V. équivaut à votre niveau professionnel réel.

Vous serez interviewé sûrement par votre futur patron avant qu’une décision d’embauche ne soit prise. Dites-vous que cet éventuel patron sait autant, sinon davantage, que vous dans votre domaine et si vous ne semblez pas trop convainquant pendant l’entrevue, vous n’obtiendrez jamais ce poste de rêve dans cette compagnie.

Un cas politique d’incompétence professionnelle notoire fut l’inefficacité du programme d’évacuation des victimes de l’ouragan Katrina sous l’intendance de Michael Brown, l’ancien directeur de l’organisme fédéral des situations d’urgence (FEMA).

FRANCHISE

La franchise se rapporte à votre intégrité. Vous devez être absolument honnête dans tous vos rapports d’affaire, particulièrement sur votre C.V. et dans vos réponses. Les recruteurs sont très rusés et expérimentés de nos jours, et certains vous poseront les mêmes questions en des termes différents pour vérifier l’uniformité de vos réponses.

Si vous prenez soin de votre réputation et respectez l’interviewer, alors vous devez être véridique. Ceci est particulièrement important parce qu’en cas de malhonnêteté, tôt ou tard la compagnie déterrera la menterie et mettre fin à votre emploi.

Rappelez-vous l’analogie politique : est-ce que vous, en tant qu’électeur, éliriez ou rééliriez un politicien qui s’est rendu coupable de mensonge?

PREPARATION

Votre préparation est corrélée à votre degré d’engagement dans votre recherche d’emploi et avant l’entrevue. Voulez-vous vraiment travailler pour cette compagnie? Si oui alors vous devez vous préparer.

Faites votre devoir de maison et faites le bien.

Vous devez connaître intimement la société que vous prospectez ainsi que ses rouages internes. Ceci est particulièrement facile si cette société est côtée en bourse et/ou a un site web.

Lisez, lisez plus, et lisez tout à son sujet.

Vous pouvez également employer des sites sociaux et professionnels (par exemple : Linkedin) ou demander à vos proches d’augmenter votre connaissance sur cette société ou même sur l’interviewer. Avoir cette familiarité a une valeur inestimable parce qu’elle facilitera votre connaissance de la mission et des objectifs de la firme, sa culture d’entreprise et ses mouvements stratégiques du moment. Pensez aux longues préparations de débat que les politiciens font habituellement.

Dites-moi maintenant moi: êtes-vous PRÊT ?

  1. goarla
    February 18, 2010 at 12:55 am

    merci beaucoup pr cet excellent article. ca tombe bien puisque je cherche du boulot actuellement.

  2. aatten
    February 18, 2010 at 1:02 am

    c’est important de bien se preparer pr une entrevue. l’auteur a raison et surtout ne soyez pas en retard. moi ca m’a beaucoup appris a ne pas pas etre en retard parce que j’ai plus eu d’entrevues apres des retards

  3. kolar
    February 18, 2010 at 1:10 am

    bon article. j’ai une question que l’auteur n’aborde pas qui est celle de la lettre de demande d’emploi. J ‘ aimerais savoir comment rédiger une demande d’ emploi et quelles formules de politesses adoptées au début et à la fin
    de la lettre

    • sanfra
      February 18, 2010 at 1:16 am

      généralement quand tu écrit une lettre de demande d’emploi il faut les critères suivants:
      – ton adresse
      – l’adresse du destinataire
      – la date et le lieu
      – l’objet (demande d’emploi)
      – Madame, monsieurs
      – Un paragraphe sur ta situation actuelle
      – Un paragraphe sur l’entreprise
      – Un paragraphe expliquant l’interet pour toi et l’entreprise de travailler ensemble
      – Une phrase de salutation

      Sachant que quand tu postule pour un emploi auprés d’une entreprise il faut que tu te renseigne sur son activité, son staut, ses préstations…..

      ok bonne chance

      • patricia
        February 18, 2010 at 1:20 am

        Va sur le site de l’anpe, rubrique candidat et vas voir les “guide pour agir” tu as des conseils et des modèles.

      • close
        February 18, 2010 at 1:28 am

        bon article. une autre question
        Acceptez-vous que votre superieur hierarchique soit moins diplomé que vous ?

      • londrfa
        February 18, 2010 at 1:32 am

        oui absolument si il est chef ce n’est pas par hasard je pense qu’il a forcément de l’ expérience plus que la moi et en plus le diplôme en faite ne suffit pas toujours surtout si la personne débute juste sa vie professionnelle au contraire il faut tout faire pour en profiter de son savoir faire et non s’occuper de cette différence de diplôme

      • rfa
        February 18, 2010 at 1:41 am

        Sans problème s’il est là grâce à ses compétences et non grâce à des relations.

      • Daniel
        February 18, 2010 at 4:24 pm

        En fait le diplome c’est quoi?
        Un morceau de papier qui dit que vous avez suivi des cours avec assuidité et que vous avez réussi les examens en fin de session.
        Par expérience , je n’ai pas fait l’université , ni même obtenu mon diplome de rheto équivalent d’un baccalaureat en France.J’ai choisi l’apprentissage dans la restauration.J’ai appris plus en 4 ans de pratique que beaucoups d’élèves d’une école hotellière.
        Il ne faut pas envier ou jalouser son supérieur comme il ne faut pas verser dans le snobisme vis a vis de ses subalternes , car dans toute entreprise l’un ne va pas sans l’autre.Personne n’est irremplaçable .Donc j’accepte que mon supérieur soit moins diplomé que moi et j’ai 45 ans dont 30 ans de carrière professionnelle et je n’ai jamais demandé à mon chef s’il avait un diplome , mais j’ai toujours su tiré profit de son savoir faire et je suis sur que lui aussi à sut tirer quelques choses de notre rencontre.
        Aujourd’hui c’est moi le supérieur et personne ne me demande le niveau de mes diplomes , pourtant je travaille avec des jeunes bardés de diplomes mais qui n’ont aucune ou presque pas d’expériences professionnelles et pratiques.Mon age avancé et mes années d’expériences font que je suis respecté et écouté , mais je reste ouvert à toute discution et surtout j’accepte de nouvelles idées pour amélioré mon savoir et satisfaire mes clients.La réflexion est la sagesse des anciens.

      • Ngariold39
        February 18, 2010 at 4:25 pm

        Oui. Je ne sais pas si ma société est une exception mais je ne connais pas la formation des personnes avec lesquelles je travaille, mis à part celles que j’ai recrutées moi-même.
        J’ai un diplôe Bac+5 mais suis encore jeune et responsable d’une équipe de personnes plus âgées que moi et qui l’acceptent bien que l’âge fasse aussi partie des variables qui “dérangent” dans certains cas.
        Enfin, il n’est arrivé de travailler avec des personnes aussi diplômées que moi mais dont les compétences ne correspondaient pas au poste qu’elles occupaient et surtout dont l’expression orale et écrite était très défectueuse, chose impardonnable à un poste où les échanges écrits avec les clients sont plus que fréquents.
        J’en viens à me dire que les diplômes perdent de leur valeur dans bien des cas, surtout dans l’enseignement supérieur privé.
        Diplômes et compétences professionnelles sont donc deux choses bien différentes une fois qu’on a un pied dans l’entreprise bien qu’on nous fasse croire le contraire tant qu’on est en formation académique…
        Salutations.

      • Daje9
        February 18, 2010 at 4:25 pm

        oh vous savez les jeunes sont meilleurs que nous les sois disant anciens alors!!!!!

      • Lucky
        February 18, 2010 at 4:26 pm

        La formation est certes un élément très important mais ce qui prime avant tout, à mon sens, c’est l’expérience dans le poste. Si mon supérieur possède cette expérience du terrain, cela vaut n’importe quelle formation.

  4. devaste
    February 18, 2010 at 1:44 am

    c est a la direction de juger la valeur d un cadre le salarie est la pour executer le travail

  5. dupont
    February 18, 2010 at 1:48 am

    A force de lire vos réponses successives, on peut légitimement se demander à quoi ça sert de faire de longues études. Cela dit, je crois que le vrai problème dans cette question est ce qu’on met exactement derrière le terme “d’expérience”. Beaucoup d’entre vous semblent prêcher par la pratique professionnelle, or, elle n’est pas la seule à permettre une transmission de savoir. On peut aussi trouver de la pratique dans de nombreux domaines (par exemple le domaine associatif). Les stages sont aussi une manière d’acquérir du savoir-faire, bien que la gratification est toujours très basse…. je reprendrais la définition donnée par Wikipédia, on nomme aussi expérience :” Le savoir élaboré à l’aide d’expériences diverses, alliées à la réflexion, à l’intuition, …, Un exercice intellectuel : expérience de pensée, petites expériences de pensée…”

    Aussi pour répondre à la question, avoir des diplômes est l’acquisition de connaissances mais aussi d’expériences théoriques (le chercheur expérimente et très généralement ça aura une répercussion concrète dans tel ou tel domaine). Le savoir-faire est soit l’application concrète de nos connaissances théoriques ou l’acquisition de de méthodes pratiques et opérationnelles. L’un ne va pas sans l’autre. Avoir un supérieur moins diplômés est fréquent de nos jour mais je regarderais toujours si l’acquisition théorique est là aussi car la pratique, seule, ne peut tout justifier (il y a des cas où pratiques rime avec illégalité aussi même si c’est marginal). Il faut un équilibre. Enfin, si un jeune de 25 ans ayant un Master et a acquis de nombreuses expériences (pro, stages, asso) pour mettre en pratique, je ne vois pas pourquoi il ne pourrait être le supérieur. Cela dit, il faut voir au cas par cas.

    “Savoir est le début de la pratique, faire est l’aboutissement du savoir.” Wang Yang Minj

    • nicosarko
      February 18, 2010 at 1:49 am

      Et il devrait y avoir des raisons pour ne pas accepter ?

      Le diplôme ça sert surtout de point d’entrée dans la vie professionnelle. C’est d’ailleurs le meilleur moyen pour les débutants pour prétendre entrer dans une entreprise à un niveau donné.

      Du point de vue objectif, l’expérience le vécu et les réalisations devraient prendre le pas sur le diplôme au fur et à mesure que l’on gagne en expérience. Il y a un bémol : dans certaines professions, très “techniques” et très corporatistes (genre médecine, menuiserie, aviation…) il est indispensable d’avoir un diplôme pour occuper une fonction, car il est le garant d’un certain nombre de connaissances.

      En revanche, pour les professions plus “abstraites”, il y a un moment où le niveau d’une personne ne peut plus se mesurer en diplômes. Par ailleurs, un diplôme, ça s’achète. Surtout de nos jours. Donc, “avoir des diplômes” revient surtout à démontrer que l’on appartient à une certaine classe sociale : celle de ceux qui ont les moyens de nourrir et de loger leurs enfants très longtemps, tout en leur payant école, loisirs et vêtements…

      Mais on le voit bien avec le bac : le “niveau” des diplômes devient de plus en plus laxiste… donc de moins en moins significatif.

      Ce qui est étrange, c’est qu’en France, plus qu’ailleurs, quand on recrute un sénior, on commence par demander un niveau de diplôme, comme si le gars, à 50 ans, n’avait rien fait pendant les 30 ans depuis l’obtention de ses titres… c’est grave… ou alors ça veut dire qu’au nievau des directions, on ne veut pas permettre aux pauvres de progresser…et qu’on ne veut pas d’eux, même s’il démontrent de réelles capacités…

      La technique quend on se trouve dépendant d’un chef moins compétent, c’est de ne rien faire qui puisse démontrer ses lacunes. Parce que au moment où on fait ça, on touche à son bifteck, et donc, il a toutes les raisons de le défendre, autant que n’importe qui. Au contraire, il faut coopérer, si votre action l’aide à faire bonne figure, alors il vous aidera. Si vous l’aggressez, et bien forcément il se défendra… Et ce n’est pas aux subalternes de juger les capacités d’un chef. C’est pour cela que la hiérarchie écoute rarement quand on lui fait de telles remarques. Ils n’ont pas tous les éléments, même si ils possèdent un niveau de qualification supérieur. Le boulot de chef n’est pas d’être meilleur ou d’en faire plus que ses subalternes. “Chef” c’est un boulot différent.

  6. media
    February 18, 2010 at 1:51 am

    Ce n’est pas un problème s’il est compétent. Dans la fonction publique, beaucoup de cadres sans diplome, ont passé des concours de même niveau que les diplomes de l’enseignement supérieur.

  7. yverto
    February 18, 2010 at 1:40 pm

    merci du bon article. j’m beaucoup. je suis P-R-E-T!!!!!!!!!!!

  8. Desa
    February 18, 2010 at 1:47 pm

    je recherche un boulot, je suis mecano. vous pouvez me contacter at desa1981@free.fr

  9. ferparMe
    February 18, 2010 at 1:52 pm

    bon article.

  10. Bernie
    February 18, 2010 at 4:27 pm

    bonn aticle 🙂

  11. Avetr
    February 18, 2010 at 4:27 pm

    bj, c’est ce qui se passe aux états unis, on recrute quelqu’un pour ses compétences pas pour ses diplômes. un non diplomé peut être cadre et un diplomé sous ses ordres.
    maintenant est-ce bien, est-ce mal, je n’en sais rien, mais je crois que c’est à chacun de faire ses preuves dans son boulot, en tout cas cela devrait marcher comme ça.

  12. Quickre
    February 18, 2010 at 7:39 pm

    Merci pr l’article.

  13. Halreo
    February 18, 2010 at 7:41 pm

    Quelques questions que vous devez poser durant l’interview
    Le rendez-vous.

    Il y a six questions que vous devez poser à votre interlocuteur:
    • Comment êtes-vous parvenu à exercer cette activité?
    Cette question a pour objectif de mettre en confiance votre interlocuteur qui va pouvoir parler de lui et de son parcours, c’est aussi l’occasion de découvrir les divers chemins qui mènent au métier que vous avez choisi.
    • Qu’est-ce qui vous plaît le plus?
    Cette question permet de faire le tour de ce qui fascine et enthousiasme dans ce métier, elle permet aussi de renforcer la confiance et la satisfaction de votre interlocuteur.
    • Qu’est-ce qui vous plaît le moins ?
    Cette question surprend souvent votre interlocuteur, mais elle permet de mesurer le climat de confiance au vu de la spontanéité de sa réponse.
    • Quelles sont les tâches classiques que comporte cette fonction?
    En confiance, votre interlocuteur vous donnera toutes les clefs pour mieux appréhender le métier que vous voulez faire.
    • Quelles compétences faut-il pour mener à bien ces tâches?
    Pour chaque tâche, vous obtenez les qualités requises, notez bien ces informations, elles vous serviront pour la suite.
    • Pouvez-vous m’indiquer des noms de personnes qui exercent votre activité?
    C’est la question la plus importante, mais aussi la plus délicate, c’est pour cela qu’elle doit être placée à la fin de l’entretien. Prenez en note toutes les réponses qui vous seront données.

  14. Cjome
    February 18, 2010 at 7:46 pm
  15. Arouna
    February 18, 2010 at 7:50 pm

    Comment decrocher un job si on n’a jamais travaillee avant ? Moi je suis toujours a l’univ mais j’espere vite trouver quand je finirai.

  16. Milène
    February 18, 2010 at 7:52 pm

    Trop mimi votre article.

  17. Rap30
    February 18, 2010 at 7:56 pm

    Moi je suis prêt malgré que je ne trouve pas d’emploi avec toutes les délocalisations que nous avons vues ces derniers temps dans le sud.

  18. Din34
    February 18, 2010 at 7:59 pm

    Bon article

  19. Esther
    February 18, 2010 at 8:00 pm

    Je suis une journaliste freelance et je peux vous aider dans la redaction de vos lettres de motivations. Esther3@orange.fr

  20. Sant38
    February 18, 2010 at 8:04 pm

    TRES BON ARTICLE !!! 😉

  21. René
    February 18, 2010 at 8:07 pm

    Il ne faut pas oublier de bien se laver et mettre son parfum favori avant l’entrevue. Aussi bien se brosser. Ca compte 

  22. Abass
    February 18, 2010 at 8:12 pm

    Vous pouvez aussi essayer l’étranger. Il y a plus d’opportunités actuellement.

  23. Sergei
    February 18, 2010 at 8:15 pm

    Bon article et bon bloggeur.

  24. Marie-Madeleine
    February 18, 2010 at 8:18 pm

    Excellent article.

  25. Reine
    February 19, 2010 at 4:02 pm

    merci pr l’article. j’m beaucopu

  26. Frank
    February 19, 2010 at 4:05 pm

    merci pr le partage. j’apprecie vraiment.

  27. femm23e
    February 19, 2010 at 4:11 pm

    merci

  28. February 22, 2010 at 10:27 am

    Bon article, et intéressant commentaires. Merci

    C’est vrai qu’il faut être prêt pour un entretien d’embauche; mais il y a un facteur chance qui joue également. Ce qui ne me plaît pas c’est quand une entreprise invite aux entretiens lorsqu’elle sait déjà qui elle va embaucher, cela existe surtout dans la fonction publique et dans les entreprises familiales.
    Quant à avoir un chef moins diplômé n’est pas un problèmes s,il est là par ses compétences et non parce que c’est le fils, la fille, le neveux ou la nièce de tel (le).

  29. Colalrdo
    February 22, 2010 at 5:39 pm

    Trop cool. 😀

  30. Jean20
    February 22, 2010 at 5:44 pm

    De ttes les façons, il y a tjrs une différence entre préparer une interview de ce genre et la réussir. Pcq de ttes les façons, les riches et leurs enfants auront toujours les bons postes et les autres… presque rien.

  31. Mécanik
    February 22, 2010 at 5:46 pm

    Je suis pas d’accord avec l’auteur parce que le plus important c’est d’abord de savoir articuler et sourire. Pas toute cette préparation. Et surtout de la chance………

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